J’ai rencontré le Samsung Galaxy S25 Ultra pour la première fois lors d’un salon bondé, entouré de fans d’Apple et de fidèles de Xiaomi. Six mois plus tard, le compagnon n’a cessé de surprendre, loin devant un simple effet de nouveauté. Son design raffiné, son endurance en déplacement, la qualité de son appareil photo et une interface parfois cabotine mais toujours fiable ont résisté à l’épreuve du temps, des poches, et même aux chutes imprévues. Alors, le S25 Ultra mérite-t-il vraiment une place sur le podium des smartphones en 2025 ? Suivez-moi dans cette expérience longue durée qui éclaire ce qui fait la différence au quotidien — et ce qui mérite encore un coup de polish.
Samsung Galaxy S25 Ultra : du design à la résistance, l’élégance au service de la vie réelle
Des smartphones, j’en croise chaque semaine. Apple, Huawei, Oppo ou encore OnePlus se livrent une bataille esthétique où le moindre détail compte. Dès la première prise en main, le S25 Ultra dévoile une identité qui tranche avec son prédécesseur et bouscule les attentes. Un écran plat de 6,9 pouces, une robe grise titane goûteusement minimaliste, et surtout un châssis robuste qui ne craint ni les clés, ni une glissade de poche.
Ce que j’ai observé en six mois ? À peine quelques micro-rayures. Et, bonheur rare dans ce métier, le S25 Ultra n’a perdu ni son éclat ni sa tenue, même sans coque la plupart du temps. Un point qui rassurera ceux ayant déjà juré en découvrant l’état d’un Galaxy Z Fold 7 après quelques semaines !
- Châssis titane et Gorilla Armor 2 pour une robustesse accentuée
- 218 g bien équilibrés, jamais lourds en main
- Bords arrondis, tranches plates : Samsung soigne le confort
- Design sobre, sans bloc photo proéminent : un vrai parti pris esthétique
Par curiosité, mes collègues — fans de Sony ou d’Honor — ont souvent demandé à inspecter de près ce Galaxy S25 Ultra. Un signe qui ne trompe pas !

Un écran qui éclipse le PC : voyages, séries et usage quotidien
À force de sillonner les gares, j’ai appris à compter sur l’écran d’un smartphone. Le S25 Ultra s’impose comme remplaçant du PC pour Netflix ou YouTube grâce à une dalle OLED lumineuse, aux bords uniformes et noirs. Même lors de soirées passées à tester le Xiaomi 14T Pro, jamais je n’ai ressenti de lassitude devant la dalle du Samsung.
- Bordures fines et immersion complète
- Visionnage confortable même en plein soleil
- Minimalisme du dos : élégance et discrétion
One UI 7 et intelligence artificielle : promesses pas encore totalement tenues
Au départ, la mise à jour vers One UI 7 incarnait beaucoup d’espoir auprès de la communauté Android — Google, Nokia et Xiaomi l’observaient de près. Transparence, modernité, séparation claire des notifications, tout semblait réuni pour séduire. Pourtant, certaines grandes nouveautés, présentées comme « révolutionnaires », se contentent d’un demi-tour de piste.
- La Now Bar : bonne idée, mais interactions limitées
- Now Brief : centralisation d’infos… pas toujours pertinente
- Gemini : intégration utile, mais parfois confuse avec les apps
- Expérience fluide mais pas radicalement transformée
Par exemple, la Now Bar ne m’a pas convaincu, faute d’applications qui en tirent parti. Quant au Now Brief, l’IA de Samsung a parfois insisté pour m’annoncer que 15 collègues travaillaient à distance — un fait connu, consigné sur Google Agenda. Sur le plan de l’assistance vocale, ChatGPT garde un net avantage sur Gemini pour qui attend une magie constante.
Interface et innovations : entre bonnes intentions et everyday life
J’ai relevé des progrès bien concrets, notamment avec la bulle de lecture musicale toujours accessible — suffisamment pratique pour qu’Apple ou Oppo s’en inspirent. Sur la navigation, quelques accrocs : parfois Maps rechigne à envoyer mon itinéraire sur la Now Bar, parfois Gemini fait semblant d’exécuter mes requêtes, mais s’arrête à mi-chemin.
- Modernité et clarté de l’interface One UI 7
- Déception sur la profondeur d’automation attendue
- Simplicité d’usage au quotidien conservée, voire renforcée
- One UI 8 pourrait corriger ces détails très bientôt
Performances, photo et autonomie : Galaxy S25 Ultra, champion du quotidien
Le snapdragon 8 Elite sous le capot donne le ton dès les premiers jours : puissance, rapidité, silence. À l’usage, je n’ai observé qu’une légère tendance à chauffer lors de séries intensives de photos, mais rien de comparable au festival de chaleur ressenti sur certains modèles OnePlus ou Huawei.
- Fluidité et réactivité constante, même en multitâche intensif
- Pas de ralentissement après plusieurs mois d’utilisation
- Appareil photo polyvalent : portraits, paysages, basse lumière… tout y passe
- Colorimétrie fidèle, effets subtils mais valorisants
Tombeur de clichés, le S25 Ultra s’illustre par ses capteurs qui offrent une cohérence et une spontanéité qui n’ont rien à envier aux grands d’Apple ou Sony. J’ai même surpris des proches, d’habitude pointilleux sur l’effet « selfie artificiel », à approuver le rendu de leurs portraits.
- Compétiteur de taille face aux smartphones d’Apple, Xiaomi, et Honor
- Qualité photo constante de jour comme de nuit
- Autonomie rassurante : jusqu’à deux jours sans forcer
Vous êtes curieux de la durabilité en conditions réelles ? Samsung mise désormais sur la prudence côté batterie pour le futur S26 Ultra, mais le S25 Ultra tiendra sans souci jusque-là.
Découvrez les offres récentes sur le S25 Ultra ici.
Recharge : le léger bémol qui rappelle la concurrence chinoise
Si tout frôle l’excellence du côté des usages, la recharge reste un peu en retrait. L’intelligence nocturne est appréciable, mais recharger totalement demande un peu de patience — Xiaomi, Oppo et surtout Honor continuent d’impressionner sur ce point. On regrette presque que Samsung n’ait pas puisé dans la fougue de la concurrence pour booster ce détail.
- Recharge totale en plus d’une heure : à méditer lorsqu’on est pressé
- Charge intelligente pour protéger la batterie la nuit
- Capacité à tenir la journée et demie, même avec usage photo intensif
- Pour les pressés, le Poco F7 Ultra et OnePlus 13 font mieux
Difficile, en 2025, de trouver un smartphone aussi complet, solide et plaisant à utiliser que ce S25 Ultra. La plupart de mes amis, équipés de Nokia, Sony, ou même Google Pixel m’ont confirmé : il sait convaincre même les plus sceptiques. Un téléphone qu’on adopte, qu’on garde, et qu’on montre sans crainte… même six mois après la première étincelle.