Le massacre de Tulle est l’un des événements les plus horribles de la Seconde Guerre mondiale. Ce massacre a eu lieu pendant l’occupation allemande de la France. Dans cet article, nous examinerons les raisons de ses atrocités et la façon dont le commandement allemand a réagi à ces événements. Il n’existe pas de réponse unique à cette question. Voici quelques faits à garder à l’esprit concernant le massacre de Tulle. Vous trouverez peut-être ces informations intéressantes. Nous espérons qu’elles vous seront utiles !
Le massacre de Tulle
Le massacre de Tulle était une rafle de civils dans la ville de Tulle, en France, par la 2e SS Panzer Division Das Reich en juin 1944. Cet événement a eu lieu trois jours après le débarquement du Jour J. Les nazis tentaient de rattraper le temps perdu, car de nombreux villageois avaient fui vers la ville pour sauver leur vie. Les Allemands ont utilisé une combinaison de puissance de feu et de fusils pour tuer les civils, y compris les résidents juifs, catholiques et catholiques romains.
Au départ, le groupe de la Résistance française, les Francs-tireurs, a réussi à s’emparer de la ville, mais les troupes du Das Reich s’en sont rapidement emparées. Les maquisards ont été anéantis, et tous les hommes entre 16 et 60 ans ont été arrêtés. Des hommes de la Schutzstaffel (SS) et du Sicherheitsdienst (SD) ont ordonné la pendaison de 120 prisonniers, dont 99 ont été exécutés le 9 juin 1944. Les autres ont été transportés au camp de concentration de Dachau et y sont morts. La Wehrmacht, la Waffen-SS et le SD résultant du massacre de Tulle ont tué 213 résidents civils.
Bien que la raison du massacre de Tulle ne soit pas claire, il s’inscrit dans un schéma plus large d’attaques contre les civils pendant la Seconde Guerre mondiale. Afin de nettoyer la région des bandes communistes, le général Lammerding avait ordonné à ses troupes d’agir sans retenue. L’ordre Sperrle donnait des instructions aux SS pour faire face aux « actions terroristes ». Bien que le massacre de Tulle n’ait pas été prouvé, il existe de nombreux récits de ce qui s’est passé dans la ville.
Le massacre d’Oradour-sur-Glane
Le massacre d’Oradour-sur-Glane est un acte horrible de meurtre de masse. Les SS ont mis le feu à une église et tué des personnes qui tentaient de fuir, mais aucun des hommes impliqués n’a été puni de plus de quatorze ans de prison. Le village a été entièrement brûlé, et de nombreux villageois ont perdu la vie. Le président français Charles de Gaulle a ordonné que le village ne soit pas reconstruit après le massacre.
Aujourd’hui, le village est devenu un musée et un mémorial permanent. C’est une expérience émouvante pour les gens de penser à combien de vies innocentes ont été perdues. La visite de Macron à Oradour-sur-Glane en 2017 a été particulièrement émouvante, car elle lui a donné l’occasion de réfléchir à l’horreur de l’événement. Samantha David, une autre ancienne universitaire, a revécu l’événement traumatisant en visitant le site.
La 2e Das Reich SS Panzer Division se dirigeait vers le nord de la vallée de la Loire pour tuer la Résistance française dans la région du Limousin. Les SS avaient auparavant tué 99 civils à Tulle en les pendant aux lampadaires et aux balcons. Mais les SS n’en avaient pas fini. Le groupe a poursuivi son massacre de civils et a anéanti toute la ville d’Oradour-sur-Glane.
Néanmoins, un seul procès a été ouvert huit ans après le massacre d’Oradour-sur-Glane. Le procès se déroule à Bordeaux devant un tribunal militaire composé d’un magistrat civil professionnel et de six adjoints militaires issus de la résistance. Les accusés, dont la troisième compagnie, sont inculpés de meurtre et d’incendie volontaire. Le procès a suscité une attention considérable de la part de la presse. Le résultat du procès n’est pas clair en raison de la loi d’amnistie, et le jury n’est pas en mesure de faire la distinction entre les actions des soldats français et allemands.
Les atrocités allemandes
La raison exacte du massacre de Tulle n’est pas claire, mais il s’inscrit dans un schéma d’attaques contre des civils par les forces allemandes. Le général Lammerding avait reçu l’ordre de débarrasser la région des bandes communistes. Il a donné l’ordre à ses troupes de ne faire preuve d’aucune retenue lorsqu’elles agissaient contre ces groupes. Cependant, selon une déclaration sous serment du SS-Sturmbannfuhrer Kahn, les mutilations étaient délibérées et non accidentelles.
Les victimes voulaient que le massacre ne soit pas lié à une rationalité militaire, mais plutôt qu’il empêche la guérilla contre les colonnes allemandes. Certains mettent en doute la validité du récit du colonel Rémy car il n’était pas présent lors du massacre. Cependant, un ouvrage de référence basé sur des documents d’archives allemands et une analyse médico-légale des atrocités allemandes de l’époque, Trafics et crimes sous occupation de Jacques Delarue, publié en France en 1988, présente les faits dans leur contexte.
Les services de sécurité allemands étaient fréquemment intervenus dans la ville de Tulle, et ils avaient envoyé une unité SD de 12 hommes. Meier était le commandant de la police secrète de Limoges, et le SS-Hauptsturmfuhrer Friedrich Korten supervisait les hommes. Malgré le fait que Meier était présent à Tulle, il n’y a aucune preuve concluante que Meier était là pour commettre ces crimes.
Le commandement allemand
Dans la soirée du 7 juin 1944, les chars de la 2e division Panzer SS arrivent à Tulle. Ils surprennent les maquisards et balayent les positions de l’Armée secrète et des FTP à l’extérieur de Tulle. Les maquisards s’enfuient dans les collines sans combattre. Face à cette colonne de secours composée d’éléments lourds et d’une puissance de feu considérable, les maquisards décident de ne pas engager les Allemands par des tirs de bazooka, ce qui aurait pu entraîner de lourdes pertes parmi la population civile.
Dans la ville, les troupes allemandes se sont vengées sur la population civile pour avoir soutenu la résistance. Elles ont arrêté des hommes âgés de 18 à 45 ans et les ont mis dans la cour d’un fabricant d’armes. On leur a dit qu’ils seraient pendus en 120 rangées. Cependant, un SD de Belgique nommé Walter Schmald est intervenu en négociant avec les responsables du gouvernement de Vichy et les a convaincus de réduire le nombre de pendaisons.
Malgré cela, personne n’a jamais été en mesure de déterminer la raison des atrocités commises par les SS. Il n’y avait pas de motif clair à l’époque, et le procès n’a pas réussi à l’établir. Il est possible que les actions de Diekmann aient été motivées par un massacre similaire en Normandie trois semaines plus tôt. Cependant, aucune preuve n’a été présentée pour soutenir cette théorie. En conséquence, la Sipo-SD a décidé de renforcer sa collaboration avec les autorités de Vichy au lieu de poursuivre son propre procès.
L’implication de Heinz Barth
Le cas de l’implication de Heinz Barth dans cet horrible événement est controversé. Bien qu’il ait été un officier SS de haut rang, il n’a pas été directement impliqué dans le massacre, qui a eu lieu en 1944. Cependant, son implication dans l’affaire a été reconnue par ses anciens collègues et a été à l’origine de plusieurs décisions juridiques. Un nouveau film, Tulle : Heinz Barth et le massacre de Tulle, montre que certains des survivants n’ont pas été tués pendant l’opération.
On ne sait pas combien de civils ont péri dans le massacre de Tulle, mais 642 personnes ont été assassinées, dont l’Obersturmbannfuhrer Helmut Kampfe. Bien qu’il n’ait jamais été condamné pour ces crimes, sa participation au massacre correspond à une pratique nazie répandue. En effet, il est difficile d’imaginer l’horreur de cette atrocité sans l’aide de ses camarades SS.
En plus d’être un accusé dans le massacre de Tulle, la participation de Heinz Barth au massacre est un élément clé de son éducation politique. En juin 1944, il était le préfet de la région, qui était sous le régime de Vichy. Après la libération, cependant, les socialistes ont pris le pouvoir. L’Association nationale des familles de martyrs, active pendant près d’un an, est créée pour commémorer les victimes.
La réponse française aux atrocités
Bien que le massacre de Tulle ait eu lieu en 1943, il ne s’agit pas d’un incident singulier. Au contraire, il est lié à une série complexe de circonstances, notamment l’histoire de l’occupation. Malheureusement, ce fut le dernier épisode d’occupation à donner lieu à un acte aussi répandu et odieux. En 1940, l’Allemagne avait occupé la moitié nord de la France, le gouvernement de Vichy servant de régime fantoche dans le sud. Lorsque les troupes nazies ont commencé à opérer dans le territoire occupé, elles ont rencontré une résistance importante et parfois maussade de la part de la population locale.
Le deuxième jour, le 9 juin, le groupe de résistance français Francs-tireurs avait réussi à attaquer la ville. Cependant, l’arrivée des troupes du Das Reich a forcé les maquisards à battre en retraite et à arrêter tous les citoyens masculins âgés de 16 à 60 ans. Les hommes du SS et du Sicherheitsdienst (SD) ont ordonné la pendaison de 120 des prisonniers. Mais seuls 99 de ces hommes ont été pendus en ce jour fatidique. Les 149 autres ont été envoyés au camp de concentration de Dachau, où 101 autres sont morts. Globalement, Das Reich avait une cible plus importante en tête avec le massacre de Tulle.
En plus des victimes, il y avait des survivants. Les Allemands sont arrivés à Tulle à 21 heures, surprenant les maquisards. Leurs chars ont balayé les villages à l’extérieur de Tulle, et une douzaine des victimes n’ont pu être identifiées. Cinq des hommes ont réussi à s’échapper après avoir été abattus. Une femme, quant à elle, a échappé au massacre en sautant par la fenêtre, se cassant la jambe au passage. Elle a été abattue par un soldat SS. Plus tard, elle a perdu son mari et son fils. Elle a également perdu son mari et son petit-fils de sept mois. La brutalité des Allemands a changé le cours de l’histoire française pour des générations.